Sur Je ne suis pas MJ mais..., Eugénie (qui fait partie de la Dystoteam) fait un parallèle entre Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi et la façon de jouer les relations amoureuses dans le Jdr :

"En Narrativo-veganie, le fait de parler de sexe ou de désir ou d’amour à la table, c’est un peu une preuve de maturité. Que ce soit dans les échanges ou les appréciations sur les jeux, les pratiques, les podcasts, il y a une certaine valorisation de l’intimité, du fait de jouer des relations amoureuses ou sexuelles. Les jeux à deux ont la cote, les jeux sur les émois adolescents je t’en parle pas, les codes de la romance c’est le kiff, et les scènes de sesque c’est tout-à-fait adulte.

Je trouve certaines explorations fascinantes même si je passe au large. Que ce soit les jalons posés par des GNIstes de l’extrême qui osent se rouler des pelles en vrai (Love is all ) ou jouer nu.es dans un lit (La cigarette après l’amour) ou le transgressif assumé du côté de notre scène punk rôliste (Coelacanthe ou Chevalerie&Sodomie).

Mais je constate un certain décalage entre la promesse d’explorer les possibles dans ces parties que je ne jouerai jamais, et la façon dont on se retrouve souvent à aborder les relations, l’amour, le désir dans mes parties à moi."

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