Septième critique sur Culture Remains :

"Nous tendons tous à vouloir prodiguer des conseils, à rapporter l’expérience d’autrui à notre propre expérience sans se douter que par là même nous écoutons parfois mal, ne comprenons pas vraiment et nions sa singularité. De ce fait, Nous qui n’existons pas est une piqûre de rappel des notions de bienveillance, d’acceptation et de non-jugement. C’est un livre déclic dont on ressort meilleur, qui est certes court mais incroyablement exhaustif, car Mélanie Fazi fait le tour du sujet de façon très complète dans une recherche perpétuelle du mot juste, du mot qui dit sa vérité. Le lecteur ressent le fait qu’elle soit allée au bout de ce qu’elle avait à écrire sur le sujet à ce moment précis de son évolution personnelle, le tout avec une plume d’une grande finesse et d’une grande sensibilité."

Pour lire l'intégralité de l'avis d'Anouchka, c'est ici.

Et la huitième du côté des Carnets d'une livropathe :

"Pour en revenir à l’ouvrage qui nous occupe aujourd’hui, il ne s’agit pas cette fois de fantastique, mais d’un témoignage : récit intimiste, précis et longuement mûri, d’une singularité qui cherche son écho. Dans ce petit livre, Mélanie Fazi se confie sans fard ni bouclier. Elle expose le cheminement et les errances qui l’ont menée à accepter chaque jour un peu plus d’être elle-même."

C'est par pour accéder à la critique complète.

On en profite pour vous montrer - en petit certes - l'intégralité de la couverture de Nous qui n'existons pas.
Signée Stéphane Perger.

Plus que quelques semaines de patience...