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Dystopia

Anthologie 50 ans du GPI

A l'occasion de son cinquantième anniversaire, le Grand Prix de l'Imaginaire s'associe aux éditions du Bélial' pour publier une anthologie intitulée Archives du vertige, avec dix nouvelles de l'Imaginaire choisies parmi les lauréates d'un demi-siècle de GPI.

Et Lisa Tuttle est au sommaire ! Avec la nouvelle Le remède, extraite de l'anthologie Ainsi naissent les fantômes, choisie et traduite par Mélanie Fazi.

Tout le sommaire est à retrouver par ici.

Une chronique de plus pour Auto-Uchronia de Francis Berthelot

CM Deiana a lu et vibré avec Auto-Uchronia ou fugue en zut mineur de Francis Berthelot et le transmet dans cette très chouette chronique sur son site :

« Le pré requis du livre est simple tout en étant, de mon point de vue, vertigineux : une autobiographie puis un point, un choix, qui transforme le passé en uchronie, ce « et si » qui accompagne les soirées dépressives quand on passe la crise de la quarantaine, puis de la cinquantaine, etc, etc, etc.
Et si j’avais fait ça ?
Et si j’avais accepté d’aller en école d’art ? Et si j’avais tout de suite parlé de « ça » ? Et si j’avais fait mon coming-out ? Et si j’étais parti ? »

Une chronique pour Fournaise de Livia Llewellyn

Elodie Denis partage sa lecture brûlante de Fournaise de Livia Llewellyn, dans un texte dense et enthousiaste à retrouver ici.

« De la lave liquide, une œuvre insensée, noire et dévorante. Une forme exigeante au service d’un fond très psychanalytique, tissé d’obsessions et de visions vénéneuses qui m’ont semblé aussi fantasmagoriques que féminines et universelles – paradoxalement. »

Auto-Uchronia dans Bifrost !

Une très jolie chronique à propos d'Auto-Uchronia ou fugue en zut mineur de Francis Berthelot dans le dernier Bifrost, signée Eric Picholle :

« Ses admirateurs le savent depuis longtemps : Francis Berthelot est l'un des grands stylistes de l'Imaginaire français. Il nous revient ici avec une écriture légère et vibrante, un petit bonheur de lecture. Allez-y en confiance, ne serait-ce que pour le simple plaisir du verbe : c'est de la bonne came. »

Prix SGDL Yves et Ada Rémy des littératures de l'imaginaire

Un nouveau prix apparaît dans le paysage des littératures de l'Imaginaire : le Prix SGDL Yves et Ada Rémy "destiné à récompenser une œuvre de littérature relevant du domaine de l'imaginaire (science-fiction, fantasy, fantastique, merveilleux, dystopies…), quelle que soit la catégorie éditoriale dont elle relève (roman, BD, jeunesse, roman graphique…), publiée au cours des dix-huit mois précédant la remise du prix, ou bien une autrice ou un auteur pour l'ensemble de son œuvre."

Il est marainé par Ada Rémy, qui en est la fondatrice.

Toutes les informations sont à retrouver sur le site de la Société des Gens de Lettres, ainsi que la liste des membres du premier jury et la première sélection de 6 auteurs et autrices.

Et par ici, les romans et nouvelles de Yves et Ada Rémy publiés chez Dystopia et le Visage Vert.

Une chronique pour Philip K. Dick goes to Hollywood

ThémysR a lu et aimé Philip K. Dick goes to Hollywood, le recueil déjanté de Léo Henry réédité aux Règles de la nuit.

« J’ai particulièrement aimé la réécriture de l’histoire des Beatles, avec un John Lennon qui devient meurtrier, et Lemmy bassiste du plus grand groupe de tous les temps. Les lettres de Philip K. Dick sont à la fois décousues et intrigantes et la vie de Bobby Fisher presque aussi extraordinaire que la vraie histoire du champion d’échecs.

C’est un recueil court mais réjouissant à lire, idéal pour ceux qui aiment l’humour un brin décalé et les petites histoires dans l’Histoire.»

L'intégralité de la chronique est à retrouver sur le site Les chroniques de l'imaginaire.

Deux nouveautés du Visage Vert en précommande

Deux nouveautés du Visage Vert sont en approche !

Un roman, Chronique de l’enfant-loup, de Cristián Vila Riquelme, traduit de l’espagnol (Chili) par Philippe Muller.

« Ainsi, quand les carabiniers furent à moins de deux mètres de lui et que les chiens s’agitèrent à cause de sa proximité, il fit face à l’un des arbres qui le dissimulaient et montra les dents en poussant un grognement rauque. Les chiens commencèrent à aboyer, essayant inutilement d’arriver jusqu’à lui. Il joua à la perfection son rôle d’animal traqué et lança un cri déchirant lorsque les carabiniers le firent tomber à l’aide d’un lasso passé autour de son cou. Alors, les chiens hurlèrent, aboyèrent, s’élancèrent vers l’avant, le menacèrent, le mouillèrent de leurs pattes insolentes, l’entourèrent comme des policiers de l’autre monde. »

Et un essai, Histoire mythique de l’amérique de Lauric Guillaud.

« Avant même sa découverte, l’Amérique a été inventée. Elle a hanté l’imaginaire européen, les rêves et les croyances des naïfs, des fous ou des persécutés. Elle a été la terre des déracinés, des visionnaires et des utopistes, puis celle des colons puritains, convaincus d’être les « élus » de Dieu chargés d’y bâtir une Nouvelle Jérusalem. Il appartiendra ensuite aux Pères fondateurs de « recréer » un monde en Amérique, sous l’égide de la Providence, en abolissant le temps historique et en créant une « mythologie » nationale. »

Les deux titres sont à paraître pour le 1er février, mais vous pouvez déjà les précommander par ici, avec les précédents livres du Visage Vert : Catalogue.

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