« Première rencontre avec la plume de Léo Henry et Jacques Mucchielli : bilan plutôt positif avec un goût de retournes-y pour ce court roman de 119 pages. J’ai été portée par l’ambiance particulière de ce roman. (...) Sous le calme plat de ce serpent fluvial se cache une angoisse permanente, tant pour le groupe d’hommes que pour le lecteur et une simple question : les cités d’or existent-elles vraiment ? »

De l'autre côté du miroir