Les Chroniques de Kellen se sont penchées à leur tour sur Nous qui n'existons pas :

"Bien évidemment le récit est fort, il vous prend aux tripes, parce qu’il est vécu, parce qu’il est vrai, simple et sincère. Il ne se fait jamais manifeste ou revendicateur, c’est un récit intime et intimiste, celui d’une vie, d’une question, qui suis-je ? et les étapes d’une réponse si complexe à saisir."

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