« Deux jolis contes donc, qui nous transportent instantanément en plein bivouac dans le désert, à siroter un thé à la menthe autour d’un feu après une traversée (éprouvante ou non) à dos de chameaux… Une belle invitation au voyage, que ça soit par le cheminement parcouru par ces deux textes que par l’époque qu’on est amené à visiter ! »

Ombre Lunaire