« On ressort de la lecture de ce conte métaphysique avec l'impression d'une grande douceur, d'avoir été plongé lentement - comme le long d'une spirale que dessine la lente convergence des temps dans les deux textes - dans les brumes du monde dans lesquelles nous baignons en chaque instant et qui le forgent très lentement, sous l'action des hommes eux-mêmes ou sous celle d'une invisible destinée. »

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