C'est un triple T qu'Hubert Prolongeau attribue à l'intégrale :

"Berthelot a toute sa vie voulu abolir les distances entre les genres littéraires et plaidé pour les "fictions transgressives". Le Rêve du démiurge, sur les meilleurs moments duquel plane l'ombre de Henry James, en est une magnifique démonstration." Toute la critique est ici.

Et du côté d'Un dernier livre avant la fin du monde, Anne déclare : "Ce premier volume constitue donc une très bonne entrée dans l’univers littéraire de Francis Berthelot, un univers impossible à cantonner dans un genre ou un autre, qui se coltine avec la maladie et la folie, et fait sourdre le drame dans le langage."

Après une seconde sélection au Prix spécial du GPI, 2018 commence bien pour Le Rêve du démiurge...