Connexion
Dystopia

Actualités

Opération Bol d'air : pour ne pas devenir chèvre !


Clément Bourgoin, webmaster du site Dystopia ainsi que celui de nombreux autres éditeurs et libraires avec Biblys, a lancé l'idée d'offrir chaque jour un livre numérique pour faire face au confinement.

Il suffit d'aller s'abonner sur le site Bol d'air. C'est gratuit, sans engagement, garanti sans utilisation par des tiers de vos mails et résiliable à tout moment en un seul clic.

Le Bélial', les éditions Scylla et Velvet lancent la première session.

Et c'est aujourd'hui au tour de Dystopia et des Soldats de la mer offert par Yves et Ada Rémy. Après plus d'un demi-siècle d'existence, ce bijou de la littérature fantastique française n'a pas fini d'être (re)découvert.

N'hésitez pas à relayer autour de vous cette initiative, bonne lecture et bonne découverte.

 

 

Nous qui n'existons pas continue sa route...

Encore deux lectures toutes récentes de Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi, cette fois-ci dans les Livraisons littéraires et chez Elaine V.Ker qui ont toutes les deux été touchées par le texte :

"Ce livre est très intime, et l’autrice le dit dès le départ : il la concernera elle, Mélanie Fazi. Une mise à nu sincère et osée, mais essentielle pour avancer dans sa quête d’identité. Sur plusieurs aspects, je me suis sentie proche des ressentis de l’autrice – dans son rapport aux gens et à la solitude surtout – mais aussi parfois outrée par les comportements de certains."

"Mais les mots de Mélanie Fazi me touchaient. Elle n’emploie pas de formulations pompeuses pour se rendre intéressante : elle nous parle directement. Elle explique sa vie, son ressenti. Et, même si nous sommes deux personnes différentes et que notre expérience diverge sur de nombreux points, je me suis reconnue dans son texte."

Pour lire les chroniques complètes, c'est ici et que ça passe !

Une nouvelle visite en Œsthrénie

Et cette fois-ci, c'est le blog d'Eireann qui s'est rendu là-bas en lisant Dernières nouvelles d’Œsthrénie, le roman d'Anne-Sylvie Salzman. Un voyage qui semble s'être révélé exigeant mais gratifiant :

"C’est très bien écrit, les descriptions sont magnifiques et permettent de voir dans quel environnement les personnages évoluent.
Un très étrange puzzle littéraire malgré la difficulté que j’ai éprouvée à sa lecture ; ce livre vous intrigue malgré ou grâce à sa complexité."

Pour lire la chronique complète, c'est ici !

Encore une recension pour Nous qui n'existons pas !

Et cette fois-ci, c'était sur Livrement que ça se passait. Un avis du livre de Mélanie Fazi qu'on peut retrouver parmi ses lectures de décembre dernier :

"C’est l’envie fondamentale de partager pour aider qui a animé Mélanie Fazi. La non-conformité peut être source d’interrogation, de dépréciation et carrément faire naître une sensation d’être décalé·e, « à côté de la plaque » voire à contre-courant. J’ai aimé le corps même : brut, car les mots mis sur les émotions sont simples, sans détour et sans fard. Pour peu que l’on soit doué·e d’empathie, on imagine sans mal les montagnes russes vécues."

Pour pouvez accéder à son billet complet ici !

10 ans de Dystopia : 10 SP papier et 10 SP numérique à réclamer chaque mois - 9


Les 10 ans de Dystopia approchent à grands pas, c'est en juin 2020, mais nous allons les fêter toute l'année afin de pouvoir remettre en avant notre catalogue.

Cette opération s'adresse avant tout aux libraires, bibliothécaires, journalistes, blogueurs ou blogueuses. Si vous n'êtes rien de tout ça, vous pouvez toujours tenter votre chance.

Comme vous le savez, nous publions beaucoup de nouvelles et nos deux meilleures ventes sont des recueils : Ainsi naissent les fantômes de Lisa Tuttle et Chants du cauchemar et de la nuit de Thomas Ligotti

Ainsi naissent les fantômes, recueil de nouvelles inédites, choisies, présentées et traduites par Mélanie Fazi a eu tout ce qu'on pouvait espérer (et même ce qu'on n'espérait même pas d'ailleurs) : un Grand Prix de l'Imaginaire, une reprise en Folio SF et surtout ça nous a permis de faire venir Lisa Tuttle et de lui faire rencontrer sa première traductrice "attitrée" : Nathalie Serval. Et très vite, de lancer le projet d'un best of des nouvelles de Lisa Tuttle publiées chez Denoël et traduites par cette dernière. 

De la trentaine de textes publiés sur deux recueils, Le Nid et Sur les ailes du cauchemar, ainsi qu'une série d'anthologies Territoires de l'inquiétude, nous en avons sélectionné 14 avec Nathalie Serval et Mélanie Fazi pour donner le sommaire des Chambres inquiètes :

« Lisa Tuttle élève la nouvelle au rang d’art. Chaque nouvelle possède une architecture parfaite, invisible mais bien là, discrètement et élégamment masquée par une écriture au scalpel. Rien n’est en trop. Rien ne manque. Un équilibre idéal pour encore une fois se jouer de nos peurs et de nos frustrations, celles qu’on s’impose ou qui nous sont imposées. Lisa Tuttle les met en image, leur donne littéralement vie en les personnifiant. »

Pour lire l'intégralité de la critique, c'est sur Les Voltés Anonymes.

Si vous êtes libraire, bibliothécaire, journaliste, blogueur ou blogueuse, vous pouvez réclamer ce SP (en précisant si vous souhaitez le recevoir en version papier ou en version numérique).

Il y en aura seulement 10 de chaque version à votre disposition. Ne traînez pas !

N'oubliez pas de vous inscrire à la Dystonewsletter pour ne rien manquer des festivités.

On se retrouve le 10 du mois prochain pour le titre suivant...

 

10 annonces pour nos 10 ans - épisode 4


Nouveau microretirage pour Ainsi naissent les fantômes de Lisa Tuttle, recueil de nouvelles choisies, présentées et traduites par Mélanie Fazi.

Notre deuxième livre, publié en 2011, un peu moins d'un an après Bara Yogoï, a reçu un accueil que l'on n'attendait pas.

Après un premier tirage à 400 exemplaires en impression numérique (deux fois plus que notre premier titre) tout s'est enchaîné très vite et très bien : outre les lectrices et lecteurs conquis, un Grand Prix de l'Imaginaire catégorie Nouvelle étrangère en 2012, une reprise en 2014 chez Folio SF (vendue aujourd'hui à plus de 2 000 exemplaires) et plusieurs réimpressions successives de 200 ex jusqu'à aujourd'hui, le recueil fait partie de nos trois meilleures ventes.

Quelque 1 100 exemplaires vendus pour la version Dystopia pour 1 400 d'imprimés. 1 000 de plus que le tirage d'origine !

Ce premier recueil de textes inédits a été suivi par Les Chambres inquiètes, un best of des nouvelles de Lisa Tuttle, publiées par Denoël et traduites par Nathalie Serval.

Ils existent aussi en version numérique, sans DRM et c'est en vente en exclusivité ici. Vous trouverez même du téléchargement gratuit pour goûter.

Tout le Dystocatalogue est donc au complet pour nos 10 ans. Nous sommes prêts et en route vers les 2000 ex...

 

Une lecture de Dernières nouvelles d'Œsthrénie !

 

Suite à l'opé de nos 10 ans : 10 SP le 10 de chaque mois, la livropathe a découvert Dernières nouvelles d'Œsthrénie, le troisième roman d'Anne-Sylvie Salzman et semble avoir (beaucoup) apprécié le voyage :

"Avec sa minutie et son goût du détail, cet ouvrage n’est pas sans rappeler le travail de ces grands créateurs de mondes que sont Ursula Le Guin et Christian Léourier. C’est une lecture exigeante qui demande toute l’attention de son lecteur, mais le récompense en retour par sa subtilité et sa profondeur."

Pour lire l'intégralité de la chronique, c'est ici

10 annonces pour nos 10 ans - épisode 3


Après l'annonce d'une nouvelle collection, l'annonce d'un nouveau projet, voici venu le temps de lancer les festivités autour des 10 ans de Dystopia. 

Et ça commence lundi 2 mars à la Maison de la Poésie à partir de 20 h.

La soirée se déroulera en trois temps :

L'équipe éditoriale sera passée à la question par Jean-Luc André d'Asciano. Il interrogera ensuite Mélanie Fazi, luvan et Anne-Sylvie Homassel. Le tout sera jalonné de lectures d'extraits de textes de notre catalogue par David Sidibé. La soirée se terminera par une séance de dédicaces.

Maison de la Poésie : Passage Molière 157, rue Saint-Martin 75003 Paris
(Tarif : 5 € / adhérent : 0 €)

Venez nombreuses et nombreux ! Partagez !

 

Bourse d'aide à la création Dystopia : Léo Henry vous parle - 3


Comme promis, voici des nouvelles du projet de Léo Henry :

"Mardi prochain, je prends l'avion pour Buenos Aires. Quinze jours de doc de terrain, de rencontres, d'entretiens, de pillage de librairies et de ruminations. J'aimerais bien ramener des photos, si j'y arrive. J'aimerais attraper quelque chose dans mon petit filet.

Ça fait un bail que je rumine ce voyage. Dans ma version fantasmée, je pensais y aller sereinement, parfaitement préparé. Aujourd'hui, j'ai l'impression que rien n'est en place, que je ne connais pas mon sujet, que mon portuñol sera insuffisant pour convaincre mes interlocuteurs, que je vais me perdre, peut-être. La date arrive et je flippe de plus en plus. Je boitille sur un pied cassé il y a presque six semaines et qui ne devrait plus me faire mal. Je préviens tout le monde que je risque de péter les plombs. Je suis pénible. C'est l'aventure, au fond, l'incertitude du grand saut : j'ai perdu l'habitude.

« Pourquoi tu te lances dans des trucs comme ça ? » est la question que j'ai le plus entendue ces derniers mois. Elle surgit dès que je commence à brosser à grands traits les problèmes que pose ce projet et les abominations qui se cachent juste derrière. Pour l'instant, la seule réponse que j'ai à apporter, c'est : « J’en sais rien. » Aussitôt suivi de  : « Ça m'intéresse. » Nous allons maintenant découvrir à quel point ça m'intéresse. Jusqu'où je suis cap’ d'aller. Jusqu'où j'ai le courage, ou l'inconscience, d'approcher du trou noir.

Je ne suis pas esseulé, heureusement, les copines, les copains, m'accompagnent au bout du mail, au bout du téléphone. J'ai été très frappé, ces derniers mois, de la bienveillance de ces ami.e.s et ces ami.e.s d'ami.e.s. Beaucoup de mes contacts à Buenos Aires se sont bricolés en trois mails, sur de vagues recommandations, ou rien du tout, mon seul intérêt pour le sujet, la dictature, la bédé, Oesterheld. Je suis à chaque fois surpris de la facilité avec laquelle on me connecte, du crédit spontané que l'on accorde à l'écrivain. Quelques-uns de ces personnages que je vais rencontrer m'impressionnent beaucoup. D'autres me disent très vite des choses très fortes. Je ne sais pas quoi faire de toute cette confiance.

Après dix d'absence, je vais renouer avec l'Amérique latine, avec l'été austral et cette capitale étrange, bizarrement familière, familièrement bizarre, et l'âpreté du voyage en solo. Je vais chercher, causer, prendre des notes. Tenir au loin les cauchemars. Trouver un livre.

Je vous tiens au courant !"

D'autres nouvelles à son retour...

10 ans de Dystopia : 10 SP papier et 10 SP numérique à réclamer chaque mois - 8

Les 10 ans de Dystopia, c'est en juin 2020 mais, nous allons les fêter toute l'année afin de pouvoir remettre en avant notre catalogue.

Cette opération s'adresse avant tout aux libraires, bibliothécaires, journalistes, blogueurs ou blogueuses. Si vous n'êtes rien de tout ça, vous pouvez toujours tenter votre chance.

Dans le billet du mois dernier, nous disions du cycle Yirminadingrad qu'il constituait la première colonne vertébrale de notre catalogue. L'œuvre des Rémy a été très vite la deuxième.

Nous avons publié dans l'ordre :
Le Prophète et le Vizir (inédit)
La novella Coups de pistolet dans la forêt dans l'Anthologie 01 (texte qui aurait très bien pu figurer au sommaire du livre suivant tant on y retrouve l'ambiance et les obsessions des auteurs :)
Les Soldats de la mer (réédition)
Le Mont 84 (inédit)

Le témoin a ensuite été transmis à l'équipe du Visage Vert qui a réédité Le Grand Midi.

En maintenant plus de 50 ans de carrière, jamais autant d'œuvres des Rémy n'avaient été disponibles en même temps.

Ils sont presque toujours dans l'hybridation des genres et jouant avec les clichés de nos littératures. C'est le cas de La Maison du Cygne :

"Étrange destin que celui des livres d’Yves et Ada Rémy, salués lors de leur parution et réédités, mais peu lus. La petite maison Dystopia Workshop poursuit son remarquable travail en rendant disponible La Maison du Cygne (Grand Prix de l’Imaginaire 1979). Ce roman envoûtant qui prend les accents du conte et de la fable lie puissance d’invention, finesse dans l’évocation du quotidien et spéculation sociopolitique. Il marque aussi la fin d’une époque, celle de la croyance à la force du collectif."

Pour lire la suite de la critique de Sébastien Omont, il suffit d'attendre Nadeau... 

Si vous êtes libraire, bibliothécaire, journaliste, blogueur ou blogueuse, vous pouvez réclamer ce SP (en précisant si vous souhaitez le recevoir en version papier ou en version numérique).

Il y en aura seulement 10 de chaque version à votre disposition. Ne traînez pas !

N'oubliez pas de vous inscrire à la Dystonewsletter pour ne rien manquer des festivités.

On se retrouve le 10 du mois prochain pour le titre suivant...

 

  1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52